Cela est du à 2 facteurs : apparition de solutions dédiées à l'utilisateur et plus simples à déployer (dont qlikview est actuellement le plus médiatique) et apparition de solutions open source (la démocratisation est dans ce cas purement financière).
L'informatique décisionnelle, outre sa fonction première qui est de fournir aux managers et à la direction des entreprises des outils d'aide à la décision, apporte à l'entreprise des atouts non négligeables parmi lesquels :
- données validées et nettoyées,
- référentiel unifié et commun à l'ensemble des acteurs de l'entreprise,
- historique des informations.
- Lourdeur de mise en place et d'évolution
- Coûts d'achat, de mise en place et de maintenance élevé
De nombreux éditeurs sont également en train de concevoir des outils web, les performances des navigateurs et les futures capacités de HTML 5 favorisant l'émergence de ce type d'outils.
Comment dans ce cas arriver à réconcilier la nécessaire rigueur liée au système décisionnel et l'agilité demandée par les utilisateurs ?
Il faut bien sûr concilier le meilleur des 2 mondes :
- Batir des bases de données dédiées à l'analyse décisionnelle, dans lesquelles les données seront nettoyées, unifiées et historisées, peu importe l'outil utilisé pour la conception des tableaux de bord et analyses
- Fournir aux utilisateurs des outils suffisamment conviviaux et simples d'utilisation, assurant un minimum de sécurité sur les données (si besoin)
- Résoudre le besoin de la confidentialité d'accès aux données (le responsable d'agence Nord ne voit pas les salaires de l'agence Centre), indépendamment de l'outil de restitution
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